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n°252
13 juin 2014

A la une

Un mois sur les routes pour la santé des cantonniers

Du 30 avril au 28 mai, l’Unité de santé au travail (UST) a mené une campagne de prévention sur le thème des maladies cardiovasculaires auprès des 450 employés d'entretien des routes du canton.

La campagne a été mise sur pied à la demande de la Direction générale de la mobilité et des routes. Elle est la première d'une série d'actions qui seront menées sur diverses thématiques de santé.

Durant un mois, une équipe d’infirmières a sillonné le canton, animant un atelier dans chacun des 25 locaux du service des routes. Au programme, bilan de santé (mesure de la tension, dépistage du cholestérol et du diabète) et discussion sur l’hygiène de vie et l’alimentation saine. «Les rencontrer directement dans leurs locaux s’est avéré le meilleur moyen de sensibiliser les cantonniers qui travaillent en petits groupes isolés», explique Amélie Dubuis, infirmière en charge de la campagne. De telles actions de prévention sont précieuses pour faire remonter les problèmes des gens qui travaillent sur le terrain. La participation était volontaire et les informations récoltées n’ont pas été communiquées à l’employeur. Au besoin, les personnes ont été orientées vers leur médecin traitant.

Un projet pilote de taille

En un mois, les infirmières ont parcouru 1200 kilomètre et rencontré près de 450 cantonniers. «C’est la première campagne de ce genre organisée sur demande d’un service par l’Unité de santé au travail», souligne Amélie Dubuis. «Ce projet est représentatif de ce que peut proposer notre unité aux services de l’administration».

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En un mois, une équipe d'infirmières a visité les 25 locaux des services des routes du canton – (ff).

L’Unité de santé au travail en bref

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L'UST est rattachée à la Policlinique médicale universitaire depuis 2012.

 

Rattachée à la Policlinique médicale universitaire depuis avril 2012, l'Unité de santé au travail assure, sur mandat du Service de la santé publique, des prestations de santé au travail pour l'ensemble des employés de l'administration cantonale (y compris l'UNIL, mais à l'exception du CHUV). L’UST conseille les collaborateurs sur les aspects relatifs à la santé et à la sécurité professionnelles. Elle assume une mission de médecine du travail visant à promouvoir la santé et à améliorer les conditions de travail. Tout service de l’administration peut, selon ses besoins, faire appel à l’UST.

Gérard Lavanchy, Cossonay

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«Pour une fois, nous avons pu aborder le sujet de la santé de manière décontractée. C’est plus ludique que chez le médecin! Quant au fait de partager l’expérience avec mes collègues, cela ne m’a pas dérangé, nous nous connaissons bien et n’avons rien à cacher».

Stéphane Genoud, Cossonay

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«Pour moi qui suis anti micro-ondes, il est souvent difficile de manger équilibré à midi. Cet atelier nous a rappelé ce que l’on sait déjà mais que l’on ne fait pas! J’ai trouvé cela très instructif».

Angelo Croce, Cossonay

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«C’est une bonne initiative de la direction de nous faire réfléchir à nos habitudes alimentaires. On peut bien donner de notre temps pour la santé. Pour ma part, je suis suivi et je mange déjà assez équilibré».

«En groupe, les langues se délient»

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Les infirmières étaient à Cossonay le 13 mai 2014.

 

«Certains cantonniers étaient un peu méfiants au début, pensant que nous venions pour les contrôler, mais ils se sont vite détendus et le climat a été propice au dialogue», raconte Sylviane Maire, l’une des infirmières qui a animé les ateliers. «Mais nous n’étions pas là pour juger leurs habitudes».

La campagne était placée sous le signe de l’interactivité. «En discutant entre eux, les cantonniers s’apercevaient souvent que leur voisin rencontrait les mêmes problèmes de santé, explique Martine Fragnière, infirmière à l’UST. «La dynamique de groupe a aidé à délier les langues».Les infirmières ont également noté les conditions de travail parfois difficiles de ce métier.

Quant aux effets directs de la campagne, l’infirmière de préciser: «Sur un groupe de huit, si une personne dépistée va consulter son médecin traitant, le but sera atteint. Dans tous les cas, ils ont apprécié que l’on vienne à eux».

Politique cantonale: quand les jeunes se font entendre

Depuis 2011, une commission cantonale de jeunes fait entendre sa voix auprès du Conseil d’Etat. Sa mission: prendre position sur les projets de loi gouvernementaux qui concernent la jeunesse et transmettre des propositions aux autorités politiques.

La commission de jeunes est rattachée administrativement au Service de protection de la jeunesse via le délégué cantonal à l’enfance et à la jeunesse. Elle est composée de 25 volontaires âgés de 14 à 18 ans. Provenant de tous les districts, ils sont désignés par le Conseil d’Etat pour deux ans.

Une commission comme une autre

La commission de jeunes du canton de Vaud fonctionne comme toute autre commission cantonale. Elle peut être consultée par le Conseil d’Etat sur un projet de loi qui la concerne ou s’en saisir elle-même. Les jeunes se réunissent, débattent et votent une prise de position qui est ensuite transmise au Conseil d’Etat.

Soutien du délégué cantonal

Frédéric Cerchia, délégué cantonal à l’enfance et à la jeunesse leur fournit un appui administratif et logistique. «Je n’interviens jamais dans le contenu des débats menés par les jeunes», souligne-t-il. «Il m’arrive en revanche de les faire réfléchir aux conséquences possibles de leurs décisions».

Contre les idées reçues

«On entend souvent dire que les jeunes ne s’intéressent pas à la politique ou ne sont pas assez mûrs», explique le délégué: «Ils démontrent pourtant qu’ils ont la capacité de donner leur avis sur les sujets de société qui les concernent. Être citoyen ne commence pas soudainement à l’âge du droit de vote».

Des jeunes de tous milieux

Ce type d’organisation est parfois accusé de ne regrouper que des étudiants issus de milieux privilégiés. «Nous tenons à éviter cela. Les membres de la commission fréquentent tant le gymnase que l’école obligatoire ou les écoles professionnelles». Pour Frédéric Cerchia, ces jeunes font preuve d’une implication exemplaire: «À 14 ans, il faut venir à Lausanne depuis Longirod, Saint-Cergue ou Leysin les soirs de semaine pour les séances»!

Deux grands dossiers: enseignement et transports

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Le logo de la commission de jeunes.

 

La commission de jeunes a émis sa première prise de position en mai 2012 sur le règlement d’application de la loi sur l’enseignement obligatoire. Elle soutenait entres autres le droit des élèves de participer aux décisions importantes qui les concernent. Avec quatre propositions reprises dans le règlement final par le Conseil d’Etat, cette première prise de position s’est soldée par un succès.

La commission travaille en ce moment sur les déplacements en transports publics dans le cadre de la formation post obligatoire et des loisirs. Les jeunes ont débattu des dessertes et des cadences pour se rendre sur leur lieu de formation. Suite aux propositions remises à Anne-Catherine Lyon et Nuria Gorrite, ils sont entrés en discussion avec l’organisation Mobilis pour améliorer la situation des jeunes dans ce domaine.

Site internet de la commission de jeunes

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La commission siège quatre fois par année en séance plénière dans la salle du Grand Conseil.

Amandine Oberholzer, présidente de la commission de jeunes

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Etudiante de première année au Gymnase de Nyon, Amandine Oberholzer, 18 ans, est entrée dans la commission à 15 ans.

- Comment conçois-tu ton rôle de présidente?

- Je sais que, pour les plus jeunes, il n’est pas toujours facile d’oser parler. Mon but n’est pas de diriger mais de pousser tout le monde à participer. Je m’efforce de faire travailler ces 24 personnes ensemble. Je dois aussi cadrer les débats qui, sur certains sujets, pourraient durer des heures!

- Qu’apprécies-tu en particulier?

- C’est beaucoup de travail, mais ça fait plaisir de voir que nos avis sont pris en compte. Je suis particulièrement fière d’avoir pu mettre mon grain de sel dans le règlement d’application de la LEO. C’est aussi un honneur quand les médias nous invitent, comme par exemple récemment à l’émission de débats «Infrarouge» sur la RTS.

- Aimerais-tu t’engager en politique?

- Pour l’instant, je ne suis pas intéressée par un parti. Ce que j’aime dans la commission, c’est la diversité des avis. Mon opinion peut être de droite ou de gauche, selon les intérêts de la jeunesse.

- Qu’attends-tu personnellement de la commission?

- Nous ne pouvons pas dire que nous représentons les jeunes du canton car nous ne sommes pas élus. Mais nous voulons montrer aux députés comment pense une partie des jeunes. Nous avons l’espoir que la nouvelle génération, pour qui certains sujets sont moins tabous, arrive à faire bouger les choses.

T’es un écolier vaudois si…

…t’as visité le château de Chillon, exploré le zoo de Servion, nagé dans la piscine des Marecottes, skié à la cabane de Bretaye, mangé du chocolat à la fabrique de Broc, sillonné le Jura vaudois, fureté dans les grottes de Vallorbe et taquiné l’écho dans les salines de Bex...

Qui n’a pas entendu parler aujourd’hui du succès des pages Facebook « T’es de …, si… » ? Sans être rattaché à une région ou une ville en particulier, la course d’école est une source inépuisable d’anecdotes et de souvenirs qui nous marquent pour de longues années. C’est une étape essentielle dans une sorte de « parcours initiatique » scolaire, à coups d’explorations, de découvertes et de visites.

Le rituel est immuable. On se précipite hors du train. En queue de peloton, un petit groupe d’irréductibles retardataires babille laissant l’écart se creuser. A midi, embrochés sur des bouts de bois, les extrémités du cervelas entaillées en croix s’écartent et noircissent. Pour le dessert, drapées d’une robe argentée, les bananes sont au feu jusqu’à ce que fondent leurs cœurs en chocolat. Les petits bobos s’invitent aussi à la fête, mais les enseignants ont tout prévu : sparadraps, désinfectants et bandelettes… Autant d’instants qui resteront gravés dans la mémoire de tous les écoliers vaudois.

Sorties ludiques et thématiques

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Josiane Borne et Serge Gigandet, enseignants à l'école Pestalozzi d'Yverdon-les-Bains - (tl).

 

La course d'école est un moyen ludique d'aborder des thématiques scolaires dans un autre environnement. «Préparer une course d’école nécessite un week-end lorsque l’on ne connaît pas les lieux» expliquent Josiane Borne et Serge Gigandet, enseignants au degré primaire à Yverdon-les-Bains. Le soutien de la direction est essentiel pour mener ce type de projet.

Ces sorties permettent de tisser des liens avec les élèves et d’écrire l’histoire de la classe. «Une année, nous avions prévu une sortie de deux jours au lac Tanay. La météo était mitigée. Nous avons maintenu la sortie. Après le pique-nique, une pluie torrentielle s’est déversée sur nous. Nous avons fini au refuge détrempés obligés de sécher le linge de 50 enfants dans un séchoir familial. Le cuisinier avait une petite radio. Nous avons organisé un thé dansant» se remémorent Josiane et Serge.

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Course d'école dans la campagne.

Partage «hors les murs»

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Yannick Maury, enseignant à l'école d'Aubonne - (tl).

 

Jeune enseignant à Aubonne, Yannick Maury a organisé des sorties durant sa première année d’enseignement. «La première course d’école est toujours stressante. On a peur qu’il arrive quelque chose. J’ai donc choisi un lieu familier». Rassuré, il a ensuite emmené sa classe à l’Alimentarium de Vevey. «Les élèves ont pu créer une maquette en chocolat qu’ils ont ramenée à la maison. Ils étaient très fiers», explique l'enseignant.

Les courses d’école établissent de véritables liens entre les enseignants et leurs élèves. «La journée des Mystères de l’UNIL m’a permis de partager une partie de mon expérience d'étudiant. Une question taraudait certains de mes élèves: comment les professeurs d'université font-ils pour sanctionner un étudiant qui fait trop de bruit dans une aussi grande salle?», sourit Yannick Maury. Pour cet enseignant, les courses d’école permettent de souder une classe, et c’est souvent l’occasion d’en faire un vrai moment de partage en dehors des murs de l’école.

Actualités

Contre-projet «Lavaux»: place à l'application!

Le 18 mai dernier, 68.47% des Vaudois ont accepté le contre-projet de protection de Lavaux présenté par le Conseil d'Etat et le Grand Conseil en réponse à l’initiative «Sauver Lavaux 3». La loi prévoit la mise en place d’un plan d’affectation cantonal (PAC) spécifique pour Lavaux. Le projet est entre les mains du Service du développement territorial (SDT). Trois questions à Philippe Gmür, chef du SDT.

- Que va-t-il se passer maintenant que la loi a été acceptée?

- Le Conseil d’Etat va fixer la date prochaine d’entrée en vigueur de la loi. Le Canton aura alors cinq ans pour élaborer le «PAC Lavaux» dans lequel il fixera des règles pour les territoires hors des zones à bâtir, à savoir la vigne et les zones agricoles. En parallèle, les communes devront modifier leurs plans généraux d’affectation en diminuant la surface des zones à bâtir.

- Quel sera le rôle du SDT?

- Un important travail de coordination avec les communes va être fait. Le SDT les rencontrera cet automne pour décider de la manière de procéder pour élaborer leurs plans. Il s’agira de savoir si elles désirent travailler de manière individuelle ou avec l’appui du canton. Notre tâche sera ensuite de vérifier que les projets des communes sont conformes à la loi. Canton, communes et propriétaires: tout le monde a intérêt à ce que ce travail soit effectué dans les meilleurs délais.

- Qu’est ce que le «PAC Lavaux» aura de particulier?

- Le plan d’affectation cantonal sera plutôt simple à réaliser, le périmètre et les objectifs étant déjà fixés de manière assez précise dans la loi. La particularité réside surtout dans la procédure. Un PAC est habituellement approuvé par le chef du département en charge de l’aménagement du territoire. Le «PAC Lavaux» sera validé par le Grand Conseil et soumis au référendum populaire. Une première pour le canton!

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Philippe Gmür, chef du Service du développement territorial.

Les plans d’affectation cantonaux en bref

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La vigne et les zones agricoles de Lavaux feront bientôt l'objet d'un PAC.

 

Un plan d’affectation cantonal (PAC) est un instrument d’aménagement du territoire qui règle l'affectation des zones, la mesure de l'utilisation du sol et le degré de sensibilité au bruit. Il peut être établi par l'Etat pour des zones à protéger d'importance régionale, cantonale ou nationale, pour des voies de communication d'intérêt cantonal ou pour des zones réservées lorsqu'il existe un intérêt régional, cantonal ou national. Le canton de Vaud compte plusieurs centaines de plans d’affectation cantonaux dont par exemple le site du parlement ou celui de l’Université de Lausanne. Seules certaines zones, comme la Venoge ou les rives du Léman, font l’objet d’un PAC visant spécifiquement la protection, à l’image du futur «PAC Lavaux».

 

Une entreprise sociale fait de la récupération sur le chantier du Parlement

Le Service immeubles, patrimoine et logistique (SIPaL) a mandaté une entreprise sociale pour récupérer et recycler certains équipements et matériaux du chantier du Parlement, leur offrant ainsi une seconde vie.

Ces éléments se situent dans la maison de Charbonnens que le projet prévoit de transformer, ainsi que dans les locaux, place du Château.

«C’est la première fois que nous entreprenons cette démarche. Elle s’inscrit dans la dynamique du développement durable», explique le responsable du projet de reconstruction Jean-Christophe Châtillon.

Le SIPaL et l’entreprise Promaison ont passé en revue tous les éléments récupérables sur le chantier. «Les principaux sont les sanitaires, la ferronnerie ainsi que des matériaux en bois, portes, encadrements, parquet», développe Jean-Christophe Châtillon. En revanche, tous les éléments patrimoniaux seront conservés par le Canton en raison de leur importance historique.

Travail pour des chômeurs en fin de droit

Créée à l’initiative de François Marthaler, ancien conseiller d’Etat, Promaison est une entité de Protravail. Opérationnelle depuis 2011, cette entreprise pilote est subventionnée par le Service de l’emploi. Sa première mission est de fournir du travail aux personnes en réinsertion professionnelle. «Nous les engageons pour une durée maximale de 24 mois. Le taux d’occupation varie entre 50% et 80%», explique le directeur Charly Chevalley.

Les employés de Promaison donnent une seconde vie à des objets qui auraient été voués à la casse. «Nous récupérons les pièces démontées sur les chantiers puis nous les valorisons pour une réutilisation dans la maison ou nous les recyclons», explique Charly Chevalley.

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Les ouvriers de Promaison récupèrent un radiateur - (ff).

Point sur les travaux

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La grue installée sur la place du château pour la reconstruction du Parlement - (jc).

 

Les installations de chantier ont été complétées fin mai par l’arrivée de la grue. Haute de 40 mètres avec un bras de 65 mètres de long, elle a nécessité deux jours d’installation. Proche d’un des couloirs aériens de l’héliport du CHUV, elle a été équipée d’un balisage lumineux.

Les travaux préparatoires se poursuivent et devraient se terminer début septembre par la démolition des locaux place du Château 5 qui laisseront place au futur accès au Parlement. Parallèlement, les travaux de consolidation du vestibule et la réalisation d’un sous-sol sont en cours. Ils abriteront les locaux techniques.

Les fouilles préalables à l’exécution de ces locaux seront suivies par la section archéologie cantonale du SIPaL.

Foot à l’Etat: la convivialité au centre

Le quatrième tournoi de football de l'administration cantonale vaudoise aura lieu samedi 21 juin, à Cheseaux. Chaque service a pu inscrire 12 joueurs ou joueuses. Cette année, 42 équipes seront confrontées, représentant tous les départements.

Marcel Parietti, délégué au sport associatif au Service de l'éducation physique et du sport, est responsable de l’organisation de l’événement: «Ce tournoi a été organisé pour la première fois en 2008, à l’occasion de l’Euro. Il a ensuite pu être reconduit chaque année d’Euro ou de Mondial». Derrière ce tournoi, l’idée bien sûr de renforcer l’esprit d’équipe entre les collaborateurs: «Nous voulons fournir aux services de l’administration une occasion de se réunir dans une ambiance conviviale et festive», résume Marcel Parietti.

Le club de football de Cheseaux met à disposition les infrastructures et organise les repas. Les matches se déroulent sous l’arbitrage de professionnels de l’Association vaudoise de football. Avec 42 équipes, le site atteint sa capacité d’accueil maximale.

Assurer la convivialité

Condition sine qua non de participation au tournoi: les joueurs doivent être des collaborateurs de l’administration. Des règles de base ont été instaurées afin de garantir la convivialité: buts de taille réduite, «tackling» non autorisé. Au moins deux femmes et deux hommes par équipe doivent être présents en permanence sur le terrain. «On espère que les équipes viennent dans un état d’esprit convivial, même si l’on regrette que la mixité des équipes génère quelques réticences pour certains», confie Marcel Parietti. Quant au choix porté sur le football et non sur un autre sport, celui-ci met en avant le grand potentiel en termes de nombre de participants et la facilité pour trouver le terrain nécessaire. «Nous réfléchissons aussi à l’organisation d’activités autour d’autres sports, par exemple le volley».

Vers la page intranet du tournoi

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Le tournoi de foot de l'administration aura lieu le 21 juin, à Cheseaux.

Jean Pierre Feniello, SAGEFI

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L’équipe: «Les sages e-fit»

«Nous avons notre propre équipe avec quatre femmes et six hommes. D’habitude on galère pour trouver des filles mais désormais les quatre viennent du SAGEFI. Le tournoi permet de passer un bon moment, on ne se prend pas au sérieux.

La préparation

Nous avons participé à tous les tournois depuis 2008. La première fois, on avait fait une équipe avec des participants du SCRIS, qui travaillent dans le même bâtiment. Depuis on est restés soudés, on fait les entraînements ensemble. Nous avons fait un entraînement deux fois par semaine depuis début mai sur un terrain réservé à la Blécherette.

Les +

J’adore le foot alors je tire l’équipe en avant. Le jeu permet de voir collègues de manière plus décontractée qu’au travail, il amène un peu plus de cohésion».

 

 

 

Corinne Delepierre, SSP

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L’équipe du SSP

«Elle compte 4 femmes et 7 hommes qui viennent de différentes sections du SSP. Le recrutement a été assez facile, on avait même une personne de trop.

La préparation

D’ici au tournoi, nous prévoyons de faire 2 à 3 entraînements sur un terrain de foot. Deux personnes font déjà partie d’équipes de foot dont nous emprunterons les maillots pour le tournoi.

Les +

C’est une journée agréable de rencontres, de partage et d’animation. Cela nous fait plaisir d’aller nous mesurer aux autres et bien sûr de défendre le SSP!»

 

 

Yves Robert, SG
du Grand Conseil

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L’équipe: «Perregaux"

«Notre équipe est composée de gens du secrétariat et de députés. Il y a toujours des volontaires pour taper dans le ballon.

La préparation

Il est difficile d’organiser un entraînement avec des députés qui viennent des quatre coins du canton. La préparation est individuelle, mais la plupart sont déjà des sportifs aguerris.

Les +

La motivation est d’abord sportive, je suis passionné de foot. Même si je ne peux plus jouer, j’ai du plaisir à organiser et à coacher l’équipe. On rencontre des personnes qu’on a souvent au téléphone mais qu’on n’a jamais vues. C’est aussi une façon de se retrouver avec les politiciens autrement qu’au cours des séances plénières. C’est très profitable même si ça n’a pas une grande influence professionnelle».

 

 

 

 

Reportage

Réouverture de la villa «Le Lac» pour l’été

La maison construite en 1923 à Corseaux pour les parents de Le Corbusier symbolise les débuts de l’architecture moderne.

Ce bâtiment de 64 m2 a été le laboratoire expérimental de l’architecte qui l’a sans cesse amélioré. Inscrite au recensement architectural cantonal, la villa «Le Lac» fait l’objet d’une attention soutenue du SIPaL. Elle figure également à l’inventaire de la protection des biens culturels d’importance nationale (PBC).

Éléments exemplaires

«On peut souligner quelques points importants qui font partie de la théorie de l’architecture moderne de Le Corbusier», explique Patrick Moser, conservateur de la villa «Le Lac». Premièrement, les murs extérieurs: ce sont les seuls à être porteurs. Les autres murs sont de simples cloisons modulables.

Deuxièmement, les fenêtres en bande: elles créent cette impression que la nature s’invite chez soi», développe Patrick Moser.

Troisièmement, le jardin est innovant car il n’est plus seulement au pied de la maison, mais il est également sur le toit».

Le défi de la restauration

La villa est en cours de restauration depuis 2012. Les experts ont dû gratter les murs pour retrouver les couleurs initiales; inventorier les plantes et arbres du jardin, distinguer les modifications faites par Le Corbusier et celles dues aux restaurateurs», poursuit Michèle Antipas, conservatrice cantonale adjointe. De nombreux écrits de Le Corbusier décrivent précisément ses volontés et ses exigences pour la villa «Le Lac».

Faire le bon choix

Certaines modifications apportées par Le Corbusier compliquent cependant le travail et nécessitent de faire des choix entre l’élément original ou sa modification par l’architecte. «La restauration doit être cohérente avec l’histoire de la maison», explique Patrick Moser. «Des défauts de construction sont apparus très rapidement. Ils ont conduit Le Corbusier à recouvrir la villa d’un bardage métallique, d’abord au nord, en 1931, en même temps qu’il construisait une annexe à l’ouest, puis sur la façade sud, en 1951», développe Michèle Antipas.

Les études et analyses préalables ainsi que les travaux sont subventionnés en partie par le Canton. «La Confédération apporte aussi une aide financière et propose l’appui d’un expert fédéral si nécessaire», ajoute la conservatrice.

Lien vers le site de la villa «Le Lac».

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Vue sur le jardin et sa fenêtre depuis le toit de la villa «Le Lac» - (tl).

Contribuer au recensement des monuments et sites

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La page d'accueil du site du recensement architectural.

 

Mis en ligne par le Service immeuble, patrimoine et logistique (SIPaL), le site internet du recensement architectural est un outil de recherche des monuments et sites recensés du canton. Il permet notamment de trouver les monuments classés d’intérêt nationaux et régionaux. Il donne accès à la fiche de recensement du bâtiment.

De plus, cette plateforme est participative. Chacun peut s’inscrire en tant que contributeur et signaler des monuments et sites à recenser.

Fauteuil Corbu pour une centenaire

IMG_39.JPGGravé sur la chaise: «Le Conseil d'Etat du Canton de Vaud à Madame Marie Jeanneret 1860 à 1959» - (tl).

 

Marie Charlotte Amélie Jeanneret-Perret, mère de Le Corbusier, a reçu pour sa centième année une chaise de Le Corbusier de la part du Conseil d’Etat vaudois. Cette chaise est toujours visible à la villa «Le Lac».

Le recensement architectural cantonal

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Classée monument historique, la villa de Le Corbusier fait l'objet d'une restauration suivie par le Canton - (tl).

 

Au niveau cantonal, la Section monuments et sites, rattachée au Service immeuble, patrimoine et logistique (SIPaL), est chargée de la conservation du patrimoine bâti. «L’unité Recensement architectural base ses évaluations sur des critères historiques et architecturaux et attribue aux bâtiments recensés des notes allant de *1*, (monument d’importance nationale), à *7* (objet altérant le site)», explique Benoît Dubosson, conservateur des monuments et sites. Ce système permet d’attribuer les mesures de protection adéquates. Les bâtiments notés 1 et 2 peuvent être inscrits à l’inventaire. Le classement de ces bâtiments est une mesure de protection contraignante qui exige une autorisation spéciale du Département pour toute intervention.

«La villa «Le Lac» fait partie des monuments historique du canton. Elle a obtenu la note *1* lors de son recensement en 1979», précise Benoît Dubosson. «Le recensement architectural cantonal fournit aussi de précieuses informations pour l’inventaire de la protection des bien culturels (PBC) fédéral», complète Fabienne Hoffmann, responsable de l’Office cantonal de la protection des biens culturels.

Une convention internationale protège les biens culturels

En 1962, la Suisse a ratifié la Convention de la Haye pour la protection des biens culturels (PBC) en cas de conflit armé. Cette protection sera étendue aux cas de catastrophes naturelles avec l’entrée en vigueur de la nouvelle loi, le 1er janvier 2015.

Cette convention est mise en application par les cantons en vertu de la loi fédérale sur la protection des biens culturels.

Brèves

Hommage à Jean-Claude Mermoud

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Un petit monument a été dévoilé lors de l’inauguration - (ARC/J-B Sieber).

Une place au nom de l'ancien conseiller d'Etat, feu Jean-Claude Mermoud, a été inaugurée le 16 mai dans son village d'Eclagnens. Décédé dans l'exercice de ses fonctions en 2011, il avait été secrétaire municipal et conseiller municipal du village du Gros-de-Vaud. Le Conseil d'Etat in corpore a participé à cette inauguration, rendant hommage à l'homme élu au gouvernement en mars 1998. Conseiller d'Etat, il dirigea les départements de la Sécurité et de l'environnement, des Institutions et des relations extérieures puis de l'Economie.

Extension du réseau sans-fil

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Quelque 200 nouveaux points d’accès Wi-Fi seront installés ces deux prochaines années dans des locaux de l’administration cantonale. Cette extension, profitant également aux clients, visiteurs ou fournisseurs, visera 150 salles de conférences ainsi que les bâtiments comptant un grand nombre d’ordinateurs portables. Menée par l’Unité télécom de la Direction des systèmes d’information (DSI), l’opération se montera à près de 350 000 francs. Au final, 2500 utilisateurs de l’administration disposeront d’une couverture Wi-Fi à leur place de travail. Actuellement, 300 points répartis dans 70 bâtiments fournissent un accès au réseau sans fil.

Un tableau pour payer ses impôts

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Le Canton de Vaud s'est doté en 2006 d'une loi sur la dation en paiement d'impôt qui prévoit la possibilité de s’acquitter de l’impôt sur les successions et donations par la remise d’un bien de haute valeur culturelle. Cette dation a été activée pour la première fois le 3 juin par la remise d’une oeuvre de la peintre suisse Alice Bailly intitulée La Fête étrange. Hommage à Alain-Fournier . Elle sera intégrée aux collections du Musée cantonal des Beaux-Arts.

 

Jacques Grossrieder secrétaire général du DFJC

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Le Conseil d'Etat a désigné Jacques Grossrieder au poste de Secrétaire général du DFJC. Actuellement premier conseiller juridique au Service juridique et législatif (DIS), il prendra ses fonctions au plus tôt au 1er juillet 2014. Jacques Grossrieder est entré au service de l'Etat en 1996 en qualité de conseiller juridique auprès du SJL, après une activité de cinq années en tant que délégué et conseiller juridique aux opérations au sein du CICR.

 

Serge Overney, nouveau directeur de l'EPSIC

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Actuel directeur de l'Etablissement primaire et secondaire de Vevey, Serge Overney a été nommé directeur de l'Ecole professionnelle EPSIC par le Conseil d'Etat. Serge Overney prendra ses nouvelles fonctions le 1er octobre prochain et succèdera à Jean-Pierre Blaser, qui avait été désigné directeur a.i. au 1er janvier 2014. Né le 4 mai 1959, Serge Overney est titulaire d'un doctorat en biologie de l'Université de Lausanne qu'il a obtenu en 1991.

 

Giovanni Peduto, nouveau chef du SCAV

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Le Conseil d’Etat a nommé le vétérinaire cantonal, Giovanni Peduto , chef du Service de la consommation et des affaires vétérinaires (SCAV) en remplacement de Bernard Klein, qui a pris une retraite bien méritée à la fin du mois de mai. Giovanni Peduto a pris ses fonctions le 1er juin. Christian Richard est devenu chimiste cantonal.

 

Pratique

Le parcours futé du mois: de la gare de Morges au site de Marcelin

Quotidiennement empruntés par les élèves et les professeurs de Marcelin, ce trajet permet de rejoindre la gare de Morges au site de Marcelin en passant par un chemin bucolique.

Le trajet

Sortir de la gare en prenant la direction sud-ouest vers la rue de la gare, traverser le rond point et prendre l’avenue du Moulin. Après 100 mètres, prendre la bifurcation à gauche sur le sentier du Moulin. La bifurcation est indiquée avec un petit panneau jaune de marche. Longer la rivière; sur la gauche se trouve une petite cascade suivie d’un pont. Au pont, continuer tout droit en suivant la direction «Sentier de la Morges». Après une cinquantaine de mètres, prendre à droite pour rejoindre le chemin du Delay. Passer devant l’arrêt de bus «Grassey» et prendre à gauche au niveau de la borne ebike du Delay. Suivre le chemin sur 20 mètres, puis bifurquer à la première à droite.Au bout de la montée, entrer dans la cours de Marcelin, prendre à gauche pour trouver l’entrée du gymnase ou à droite pour rentrer dans le bâtiment d’agrilogie.

Les avantages

Le parcours est ombragé et au bord de l’eau. Situé en plein centre ville, ce trajet est pourtant éloigné de la circulation. Il est accessible à tous. La petite montée du chemin du Delay jusqu’à la cours du site de Marcelin sera la partie «sportive» du trajet.

Pratique

Départ:

Gare CFF de Morges

Arrivée:

Site de Marcelin (Gymnase de Morges, CEPM, CEMEF et Agrilogie Marcelin).

Temps de parcours à pied:

15 minutes

Distance:

1,2 km

 

Vers la carte interactive du parcours

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Au détour du chemin, une cascade - (tl).

La fanfare de la Police cantonale recrute!

La fanfare de la Police cantonale, composée d'instruments de cuivre et de percussions, recherche des musiciens. Ouvert à tous, les membres non policiers sont les bienvenus.

Participer à la fanfare, c’est se produire lors d’événements officiels de l’Etat de Vaud, de la Police cantonale et parfois à l'étranger.

La fanfare est un brass band avec un niveau de première division. «Lors des représentations officielles, les collaborateurs de l’Etat non policiers mobilisés ne doivent pas compenser leurs heures», précise Philippe Jaton, officier commandant de la fanfare. «Les répétitions ont lieu une fois par semaine tous les lundis dès 18h, au centre de la Police cantonale, à la Blécherette, sous la direction de Christophe Jeanbourquin. Les instruments de musique ainsi que la grande tenue historique appartiennent à l'Etat», ajoute-t-il. Il y a également une tenue de gala.

Créée en 1970, la fanfare de la Police cantonale est l’un des ensembles officiels du Conseil d’Etat depuis 1972. Initialement réservée à la Gendarmerie et à la Police de sûreté, c’est au milieu des années huitante qu’elle s’ouvre à tous les musiciens. «La fanfare permet de partager une passion ainsi qu’une expérience de vie», explique son président Jean-Luc Weber.

Pour s'inscrire: Lien sur la page de contact de la fanfare

 

 

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La fanfare de la Police cantonale sur les marches de l'esplanade du château cantonal.

Une musicienne passionnée

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Sidonie Kohler, membre de la fanfare de la police cantonale - (tl).

 

Apprentie employée de commerce en troisième année, Sidonie Kohler a rejoint la fanfare de la Police cantonale, il y a six ans.

-Comment avez-vous intégré la fanfare de la Police cantonale?

C’est un ami percussionniste qui m’en a parlé. La fanfare recherchait des musiciens. Ça m’a tout de suite intéressée.

-Qu’est-ce que votre participation implique?

Il y a une répétition par semaine. Nous avons plusieurs évènements officiels dans l’année, dont la prestation de serment des aspirants policiers. Nous participons également à des rencontres entre fanfares de police. Nous donnons aussi des concerts privés comme la soirée annuelle.

-Quelle est l’ambiance?

L’équipe est géniale, on est vraiment soudé. De plus, notre président est très motivant. Nous savons être sérieux quand nous devons l’être. Mais nous savons aussi nous amuser après les répétitions et concerts. C’est une vraie chance de pouvoir faire partie de cette fanfare.

-Qu’est-ce que ça fait de porter un costume officiel de police ?

C’est un véritable honneur de le porter. Ça se mérite. J’aime beaucoup ce costume malgré son poids. J’aimerais le mettre plus souvent.

Culture

Magie du paysage russe au McBA

Des oeuvres prestigieuses de La Galerie nationale Trétiakov sont données à voir au Palais de Rumine.

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Vassili Polénov. La forêt brulée, 1881. Huile sur toile (© Gallerie nationale Trétiakov, Moscou).

Un cadre parfait pour une exposition exceptionnelle! Un ensemble de 67 peintures russes de la période 1855 à 1917, sorties de la prestigieuse Galerie nationale Trétiakov, à Moscou, – une première ! – s’alignent sur des murs du Musée cantonal des Beaux-Arts. à la Riponne, dans le palais bâti grâce à un legs de l’aristocrate russe Gabriel de Rumine en 1871, au moment même où, en Russie, se formait la société des «Ambulants». Les 42 peintres représentés au Musée cantonal des Beaux-Arts font partie ou sont proches de ce mouvement qui s’inscrit dans la dissidence de l’enseignement de l’idéalisme classique centré sur les thèmes mythologiques, héroïques ou religieux.

À la recherche de l’identité russe

Les Ambulants se lancent à la recherche de l’identité russe, qu’ils scrutent dans la terre, le ciel, la mer, les saisons, la nature en général ou encore la vie quotidienne paysanne. Leurs sujets se rapprochent du peuple russe et de ses préoccupations. Leurs expositions, itinérantes, visent d’ailleurs un public large et populaire.

Intimité du rapport à la terre

Loin des paysages classiques idéalisés ou italianisants, les œuvres des Ambulants expriment souvent l’intimité d’un rapport à la terre. Vaste terre marquée cependant par la présence humaine souvent perdue au milieu de l’immensité du paysage et de la rudesse de l’environnement. Des hommes et des femmes collés à la terre, pouvant même paraître embourbés comme dans «Le retour des paysans d’un enterrement en hiver», de Vassili Pérov, où la désaturation des couleurs accentue le caractère hostile et indifférent du monde qui entoure l’homme. La peinture est engagée, empreinte d’une critique sociale, mais aussi d’un espoir que l’abolition du servage par Alexandre II contribue à porter.

Commissaires de l’exposition, Tatiana Karpova, vice-directrice de la Galerie nationale Trétiakov à Moscou, et Catherine Lepdor, conservatrice en chef au Musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne, ont réparti les œuvres afin d’offrir un parcours thématique en dix étapes. Des thèmes structurants dans l’imaginaire russe et qui accentuent le pouvoir des tableaux à nous permettre d’effleurer l’âme russe.

Magie du paysage russe, exposition au Musée cantonal des Beaux-Arts. Visites commentées publiques: À 12h30: les jeudis 26 juin, 3 juillet, 24 juillet et 21 août. À 18h30: les jeudis 19 juin, 17 juillet, 31 juillet, 14 août, 28 août et 2 octobre.

 

Messe à 6 voix

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Le choeur des Vocalistes romands.

L’œuvre du jeune compositeur vaudois Valentin Villard est à découvrir lors de la fête de la musique 2014 à la BCU Lausanne. Le chœur des Vocalistes romands, dirigé par Renaud Bouvier, consacre un concert entier à deux pièces innovantes: la Messe à 6 voix et des Haïkus sur des textes du poète français, Damien Gabriels.

Fête de la Musique 2014, samedi 21 juin, 20h. BCU Lausanne, Palais de Rumine, place de la Riponne 6.

Ailleurs

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Affiche de l'exposition des travaux des classes de préapprentissage artistique.

Au travers d’une architecture éphémère, l’Ecole supérieure d’arts appliqués vous invitent à découvrir les réalisations des élèves des classes de préapprentissage artistique.

Ailleurs . Travaux des classes de préapprentissage artistique, Espace Doret – salle d’exposition du CEPV. Exposition du 18 au 25 juin 2014. Lu –Je de 8h à 20h, Ve de 8h à 18h. Entrée libre.

Lien vers l'exposition

Strip-tige

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Affiche de l'exposition Strip-tige.

Le sexe n’est pas l’apanage des animaux et des humains, il existe aussi chez les végétaux. Au Jardin à thèmes, le visiteur peut admirer les plantes associées à la découverte de la sexualité végétale et celles qui peuvent se multiplier sans avoir recours au sexe. Dans le Jardin des plantes médicinales, le visiteur parcourt l’échelle de l’évolution des plantes.

Strip-tige . Exposition au musée et jardin botanique, Lausanne, Montriond - Place de Milan. Jusqu’au 28 septembre. Tous les jours de 11h à 18h. Entrée libre.

Lien vers l'exposition

Annonces

Petites annonces

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Les petites annonces sont uniquement accessibles depuis l'intranet de l'Etat de Vaud pour le moment.

Lien vers les petites annonces

Editeur: Etat de Vaud. Rédacteur responsable: Joël Christin. Rédaction: Florence Frossard, Tiffany Lenoble. Contact: info.gazette@vd.ch
Copyright(c) La Gazette n° n°252 - 13 juin 2014